
Laphroaig (Whiskybase) - Same as 10K - 6 ans - 58,7%
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Jeep
N : Tourbe grasse immédiate. Un peu de poussière puis un côté tranchant, vif, direct. Easy et agréable
B : Plus complexe et riche mais tout aussi bon. Tourbe grasse, graphite, herbes aromatiques et réglisse.
C : Très bien

Imbula
Nez : médicinal, sucré, fumée, bacon, iodé
Bouche : fruit, tourbe, fumé, citron et cendre
Finale : cendre, citron, fumée, tourbe

Very_bad_day
Nez: Fermier, boisé, carton humide, tourbe, viande fumée.
Un whisky avec un nez de renfermé
Bouche: Sel, piquant, tourbe humide, saumon fumé.
Bouche extravagante, très bon.
Finale: Moyenne sur la tourbe
En bref: Très belle surprise

Savoureur
Aspect : Peu huileux, or rouge
Nez: Intensité moyenne, alcool bien intégré, tourbe genre fumoir à jambon/lard, boisé (thé vert sur infusé), une pointe de fraicheur mentholée, plaisant mais avec une tourbe trop présente pour me charmer
Bouche: Intensité moyenne, alcool bien intégré, tourbe écrasante et jeune/amère/asséchante, pas du tout le profil de whisky que j’affectionne
Finale: Moyenne

jnpons
N: De la cendre, des cacahuètes, viande fumée et cendrée. quelques touches herbacées avec de la fougère.
B: du charbon, un tav bien intégré, une impression du curly, et ces touches herbacées.
F: longue sur la cendre

Elskling
Nez profil peaty sherry, du feu de bois
Bouche dans le même profil, assez fort, limite brûlant, boisé correct, ça fait penser à un Ardbeg sherry assez jeune.
Au total, ça reste assez simple je trouve, rien de spécial à mon sens: 86

LaFronde
Nez: Terreux, tourbe humide
Bouche: Léger Sherry, tourbée, acidulée
Finale: Moyenne-longue

Jean-Michel
Couleur : Cuivre jaune.
Nez : Un joli combo qui mêle caramel dur aux fruits et phénols plutôt élégants. Un peu de mastic frais également. Le caramel a un peu brûlé, mais l’ensemble est plutôt attrayant, malgré une petite note de sachet plastique en arrière-plan.
Bouche : Démarre sur une grosse bouffée de menthol qui glace la bouche. Puis très vite, on subit une effroyable attaque de chambre à air de vélo (et la poudre blanche et amère qu’il y’a dedans), et de sachets plastiques brûlés. Canapé en skaï fraichement déballé. Peut-être un poil moins extrême après un mois d’ouverture, mais toujours difficile !
Finale : Plus de chambre à air encore maintenant, accompagné de lubrifiant industriel mêlée à la limaille chaude qu’on trouve autour des machines-outils conventionnelles. Vieille boîte à outils.
Commentaire : Un véritable attentat aux phénols et au caoutchouc. Pourrait ressembler à un Fujikai 12 ans, en brut de fût. C’est un peu moins mauvais, mais j’ai vraiment peine à croire qu’une distillerie écossaise ait pu engager sa réputation sur un tel produit. Dans ma grille de notation, un Single Malt mérite toujours au moins 40. Dans le cas d’espèce, j’ai d’abord pensé que cette bouteille méritait de déroger à la règle, mais je vais finalement m’y tenir. En tout cas, je ne remercie pas le gentil contributeur !

