---

N : Premier nez intrigant : pate d’amande et Cologne… On retrouve ensuite cette dualité avec d’un côté des notes florales bien présentes et de l’autre un caractère gourmand affirmé : vanille, glace rhum-raisin. A l’aération, cela devient clairement intéressant avec un côté Cognac (fondu ? rancio ?) marqué et toujours beaucoup de vanille et de la crème anglaise.
B : Excellente
F : Très longue. Vanillée, riche, belle structure légèrement vineuse.
C : Un joli Balvenie. Merci LaFronde 90+
2019

---

Nez : Patissier ! crème caramel, flan coco, ananas roti, vernis
Bouche : grasse, sucré, vanillé, toujours la coco
Finale : coco, vanille, piquant et longue
Un grain ? Très bon en tout cas
2019

---

Nez: Pomme d'amour, caramel.
C'est gourmand

Bouche: Doux, très gourmand, de belle note florale et de fruits cuits.
Très généreux un gout de reviens-y.

Finale: Plutôt longue et douce

En bref: Un dessert.
2019

---

Aspect : huileux, ambre moyen
Nez: Intensité moyenne, alcool bien intégré, profil sur du sherry doux avec rondeur, raisins secs, figues et sucrosité, après aération un peu de chocolat noir et d’acidité, bien plaisant mais le sherry écrase le distillat
Bouche: Intensité moyenne, alcool bien intégré, sherry plus sec qu’au nez, un peu de jus de bois bien dosé avec acidité et fraicheur, tabac, comme au nez le sherry écrase le distillat mais c’est très bien fait et c’est du plaisir directe
Finale: Moyenne
2019

---

N: Caramel, vanille, chocolat blanc, monoi (fleur de tiaré) noisette.
B: ça me rappelle un bonbon blanc et marron cylindrique, beaucoup trop sucré sur le caramel, vanille, pain d'epice.
F: Longue sur le caramel
2018

---

Nez sur des fruits confits, élégant, sur l'orange aussi

Bouche sucrée et fruitée, pas mal du tout, punchy, influence de sherry.

Pas mal, mais pas suffisant pour moi: 87
2018

---

Nez: Encaustique
Bouche: Gingembre, pain d'épices
Finale: Moyenne-longue
2018

---

Couleur : Mordoré.
Nez : Oh ! Voilà qui m’a l’air bien appétissant ! Crème aux œufs a gogo, avec une bonne rasade d’eau de fruits. Sabayon accompagné de mirabelles roties au miel.  Advocaat. Un nez lourd, crémeux, nourrissant. Too much ? Peut-être, mais je dois avouer que j’aime bien ça.
Bouche : Too much, vraiment, et toujours aussi excentrique. Ca respire autant le naturel qu’un verre de Pisang Ambon ou de crème de pêche industrielle. C’est lourd et un peu poisseux, nourrissant comme un verre de Drambuie à 56%. Heureusement, la puissance de l’alcool permet en quelques sortes d’alléger l’ensemble.
Finale : De longueur moyenne, elle est portée par ces arômes artificiels un peu déroutants, et une légère astringence finale.
Commentaire : Il m’est difficile de noter un whisky dont le nez n’était pas loin de me faire chavirer, mais dont la bouche me semble singulièrement manquer de sincérité. Très nourrissant, par moment écœurant, il est à proscrire en cas d’embarras gastrique. Quant à la distillerie qui a pu produire cet OVNI, difficile. Un Speysider de la fin des 70s qui ne dirait pas son nom ?
2018