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Lagavulin ( Officiel) - 21 years (2007) - 21 ans - 56,5%
 alt=5F: 1E: 91/100


Lagavulin 21 years (2007)

Forum
Embouteilleur:
Officiel
Age:
21 ans
Taux d'alcool:
56,5%
Détails bouteille:
distillation: 1985 embouteillage 2007
Brut de fût non filtré à froid
european sherry cask
Cote moyenne
91/100
(90,95)
Classe de prix:

1 note available in English
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ALouis

Couleur : Or soutenu/ambré
Nez : On change complètement de caractère par rapport au 16 ans et au DE, le nez est très expressif, tourbe médicinale, sherry et de belles notes marines.
Eucalyptus, orange, éther, café/chocolat et des fruits jaunes en fond.
Bouche : En bouche ça déménage aussi, d'abord de la tourbe médicinale et sur la fumée de bois puis arrivent le sherry avec ses épices, orange, chocolat et enfin quelques notes sauvages et fermières.
Les notes fruitées sont présentes mais plus sur des fruits confits ou en confiture.
La bouche est punchy mais il n'y a aucune agression de l'alcool et c'est rare je préfère la bouche au nez.
La finale est interminable, un peu comme un Brora 30 ans, superbe.
93/1002010

Dede

Couleur : Ambré

Nez : Très riche. La tourbe est énorme et très Lagavulin, grasse, sur le goudron chaud. Une note acide et citronnée est nettement perceptible au fond. Mais ce qui répond à la tourbe bien sûr, c'est le sherry. Un sherry massif mais absolument pas gourmand, plutôt du genre sec comme un coup de trique, et qui apporte des notes de caoutchouc (tuba de plongée) qui collent tout à fait au profil. Un nez sans concession qui ne plaira pas à tout le monde. Puis l'aération l'arrondit quelque peu. La caoutchouc reste présent, mais des notes plus douces apparaissent, orange confite et caramel. Enfin, ça reste un bestiau peu commode. Il se fait plus agrumique avec un peu d'eau.

Bouche : Plus douce à l'attaque que supposé, elle descend bien sèche. Grasse, elle est très tourbée, une tourbe terreuse plus que fumée, toujours du caoutchouc, puis développe des notes de mandarine du plus bel effet. Du poivre vient vous picoter l'arrière de la langue en fin de bouche. Comme au nez, plus d'agrumes avec un peu d'eau.

Finale : Longue, très très tourbée et salée, elle assèche le palais et développe des notes amères de gentiane et de réglisse qui collent longtemps au palais.

Conclusion : J'adore Laphroaig, mais un petit Lagavulin de ce calibre de temps à autres, c'est bien aussi, n'est-ce pas ?!
93/1002010

Alexandre

Le nez s'ouvre sur de la tourbe très fumée et un nuage enrobant de goudron frais, de caoutchouc, de pétrole. C'est très prenant, mais c'est surtout pas là pour rigoler. Ce nez finalement assez simpliste ne demande qu'à respirer. Tour à tour en effet, il devient ensuite marin, humide, sur l'herbe trempée. Une belle évolution. Puis toujours sur l'herbe fraiche, en s'adoucissant sur l'orange amère et une pointe de fruits jaunes. A peine croyable pour un Lagavulin en brut de fut. Et ce n'est pas fini : bien que gardant une dominante marine, il devient porté sur caramel, le citron, l'eucalyptus, pour ce qui est des odeurs principales. Du grand art. Génial.
La bouche commence par une puissante attaque de goudron, de caoutchouc. Ca déménage. Une fois apaisée, elle tourne vers des notes marines, salées, très agréables. Ah, ce sel. On aura l'occasion d'y revenir. Au fur et à mesure de l'aération, on sent un poil d'orge maltée, de citron, et surtout de sel. Un sel très puissant et équilibré sans être dérangeant et excessif, juste superbe, au milieu de cette dominante tourbée très typée, presque animale. Enfin, on peut déceler des notes de caramel, de chocolat. Presque trop timides finalement, vu la puissance offerte par les notes salées.
La finale est très asséchante, sur les épices et le sel, le tout dans une ambiance très tourbée. Puis, au fur et à mesure que les notes salées prennent les commandes en bouche, elle débute sur du sel, telle une apothéose de la bouche, pour s'adoucir sur des épices douces, des notes pétrolées et de chocolat. Un soupçon de fruits secs (dattes ?). Extraordinaire cette descente très douce au milieu de cette finale restant asséchante. Il reste après de longues minutes un souvenir envoûtant d'épices et de chaleur, avec cette pointe de sel.
En conclusion, un dram tout simplement envoûtant. Complexe à souhait, qui ne demande qu'à s'aérer. 95/100.
95/1002010

Jean-Marie Putz

Un nez délicieusement partagé entre les notes de cuir et celles d'une tourbe raffinée. De la fumée également. Une impression de viande et quelques beaux relents fermiers. Le nez est très prometteur. Derrière la fumée et la tourbe se devine une belle fraîcheur. Le nez monte en puissance au fur et à mesure.
En bouche, un véritable feu d'artifices de goûts proches. De la tourbe, du cuir et de la fumée. Assez complexe, quoi que évoluant dans les mêmes tons, et très agréable.
La finale est longue mais devient rapidement sèche, faisant ainsi oublier rapidement le souvenir extrêmement agréable du nez et de la bouche.  Cette finale est décevante. Dommage.…
84/1002007

Nulty

Goûté blind.

Nez : tourbe grasse, mais aussi et surtout goudron, charbon de bois, du plastique brûlé et la fumée. Egalement de la viande grillée, salée, presque du bacon, des lardons. Un quelque chose de noisettes ou d'amandes grillées. C'est aussi herbacé et discrètement fruité, avec des agrumes (citron, orange amère) et de la gelée de coing. A l'ouverture le bois se fait plus remarquer. On ressent aussi, plus tard, des notes fermières, de paille et de terre mêlées. Feu de bois, puis de très légères notes de sherry se développent.
Un nez puissant sans être violent. Avec de l'eau, le sherry semble plus présent, avec du cuir, peut-être du tabac, des épices (clou de girofle), du chocolat, des noisettes.
Bouche : l'attaque est franche, plus sèche qu'attendu, de la fumée en pagaille, tourbe légèrement piquante, du bois, des aromates, du poivre (un paquet), de l'herbe sèche. Une bonne dose de bois, petite amertume en conséquence. Après le nez je suis quand même franchement déçu ici, voyons si de l'eau améliore la situation car l'alcool est bien présent et pourrait gêner l'expression des saveurs.
Dilué donc, on a, dès l'attaque, des agrumes, des raisins et de fugitives prunes. Des fraises ? C'est plus sympathique comme cela, et ici également l'eau libère des notes de sherry agréables. Praline, menthe discrète.
Final : long, fumée, un peu de poivre et de bois. L'alcool laisse sa marque un moment ... Cela disparaît après dilution, du sel et une tourbe sèche remplacent cette désagréable sensation alcooleuse.

Alors oui c'est complexe, puissant etc, mais ça ne provoque pas grand réaction chez moi. C'est vivant mais pas vibrant.
84/1002012

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