
Ben Nevis ( Officiel) - 26 years - 26 ans - 54,2%5
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Un nez très agréablement épicé (poivre) et en même temps remarquablement frais. Menthe et pomme verte.
La première bouche est très acide, fraîche et toujours aussi poivrée que le nez. Belle complexité et au fur et à mesure que le temps passe, des goûts de fruits verts apparaissent évoluant vers des notes de plus en plus douces. De la noisette et des fruits exotiques.
La finale est longue et toujours fraîche, prolongeant parfaitement les impressions du nez et de la bouche.


Un nez nettement marqué par le poivre et d'intéressants relents de foin mouillé. De la pomme verte et quelque chose qui ressemble à de l'herbe coupée, mais avec des relents sucrés...
La bouche est impressionnante, mélange d'alcool de poire et de relents maltés assez doux d'une part et de nets relents acides d'autre part. Puissante et fraîche. Excellente impression
La finale est assez longue et un goût fait à la fois de fruit pas mûr et de malt prolonge le plaisir un long moment. Très bon whisky, mais surtout très étonnant.


Le nez est très frais et complexe, mêlant des odeurs dominantes d'agrumes relativement fades à des notes de réglisse, d'épices et des pointes de cacao.
En bouche une certaine acidité boisée assez intéressante domine, et laisse passer peu d'autres impressions, si ce n'est après quelques temps celle d'une sérieuse présence alcoolique.
La finale est assez longue sans être transcendante, et nous rappele surtout le côté acide et fortement alcooleux de l'ensemble, et se termine sur de discrètes notes boisées.


Le nez est assez prometteur au premier abord, bien que assez nettement dominé par des relents acidulés. Quelque chose entre la fraîcheur de l'herbe coupée et le citron doux. Zeste d'orange? Un léger boisé également en arrière fond.
En bouche, la présence de l'alcool est assez évidente, sans être dérangeante. Une certaine complexité, cependant toujours un peu subordonnée au goût d'agrumes qui semble dominant, sur un arrière fond de malt ou de bois.
La finale est assez longue et revien assez nettement sur le chocolat.

Antoine
Un sherry explosif comme dans le A Bunad'h d'Aberlour, mais en moins sans concession. Par contre l'explosion est à chaque gorgée, donc encore trop fort pour mon palais, et pourtant je commence à bien encaisser les CS. Un peu désorienré par rapport à son petit frère bien défini.

