
Bowmore ( Officiel) - 17 years - 17 ans - 43,0%7
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3 notes available in English
Aw-Lyaka
Ah!...Bowmore 17 quelle merveille... Sur les quelques 70-80 single malt que j'ai eu l'honneur de déguster c'est pour moi le nouveau n%2 des grands whiskys (oui je sais j'en ai encore 2 ou 3000 à goûter ).C'est le plus aèrien des whiskys écossais que j'ai goûter(seul le Tyrconnel (whisky irlandais) m'a paru encore plus volatile (mais moins fin)).
Nez brumeux, aérien ,effluves griotes, d'une douceur et d'une finesse absolumment incroyable;c'est une mer calme et sereine que l'on perçoit dans ses arômes,parfum de médecine végétale, essences de rosée matinale ,léger fumâge, tourbe discrète,cerise en chuchotis. Rien qu'avec le nez on sait qu'on a affaires à un monstre de noblesse et de subtilité... Il y a des single malts avec lesquels un bon nez ne signifie pas pour autant un grand goût en bouche(et vice-versa(c'est courant));mais le bowmore 17 annonce de l'incroyable pour se révéler être du titanesquement colossal ,Explosion de fureurs euphorique,pleïade d'arômes tumultueuses(orge fumée,tourbe marine, algue au goût de sucreries,végétaux dans toute leurs candeurs);ce Whisky est une éloge au goût,un cantique au bonheur, en un mot: une Symphonie... la finale(normalement on dit 'le',mais comment un whisky de cette grandeur pourrait il être masculin_Bowmore 17 tu es une sirène,je le sais..._...)est démentie, voluptueuse,fine et délicate,volcanique et paresseuse...Après un temps c'est de l'eau claire de roche que l'on a en bouche C'est un Whisky air-mer (avec une pointe de la terre de Islay)sirupeux,doux, volatile et d'une complexité prophètique à s'en faire retourner les seigneurs des Hihlands dans leurs tombeaux. Bref ,une Légende...........

Amor57
Dégustation du 13 mai 2006. Le nez est riche et complexe : Café, chocolat, vanille, les arômes du rhum du Cuba, le biscuit. Il est légèrement fruité. Cette approche prometteuse et vigoureuse va se muer en une bouche en subtilité. J'y retrouve des légumes verts et du citron sur un fond salé. La finale est brève et dominée par la mer : Sel et iode. Je suis déçu par cette version qui manque d'unité et de profondeur.

David Kreb
Mouais, c'est pas monstrueux, c'est pas dégueu non plus . . . légérement déçu tout de méme ! Le nez est boisé (grains de café fraîchement torréfiés, rancio) on y sent l'influence d'un Sherry aussi, un côté floral minimaliste puis des agrumes. Celui-ci se révèle étre déséquilibré par son côté alcooleux et sentant un tantinet l'entourloupe ! En bouche, son caractére salé semble être assagi par les notes biscuitées qui sont loin d'étre désagréables, on note des agrumes aussi. Une finale moyenne, un poil fumée et légèrement piquante se termine sur les céréales. Attention, c'est loin d'étre une mauvaise acquisition mais on est en droit d'en attendre un peu plus d'un tel produit ayant passé 17 années en fût.


Un nez très complexe et très agréable assez marin et cependant proche de l'orge.
En bouche, l'orge maltée est très présente, avec un sentiment de déguster un hareng bien fait... Une forte impression marine. Un véritable régal.
Une finale longue et chaude, avec d'intéressants relents de fumée. Une très grande bouteille, sans la présence de ce petit goût de violette si présent chez beaucoup d'autres Bowmore.


Une première impression olfactive assez bizarre de cire mêlée à des pommes vertes sur un fond de tourbe et de discrets relents d'algues.
En bouche, d'abord une impression d'acidité et un goût légèrement en retrait par rapport au nez. Derrière cette acidité, de forts relents d'orge maltée en bord de mer.
Une finale assez sèche, amère et légèrement boisée.

Pépé
C'est immédiatement agréable. Citronné, des agrumes, du pamplemousse, avant toute autre chose. Tout çà sur fond de léger malt et de chocolat. Un côté citron-givré/glace-coco. Cà me plait beaucoup. Il a un côté frais, genre mentholé, ou citron meringué.
Belle séquence en bouche. Une attaque sur le citron concentré, puis du malt, puis re-citron, mais sous forme de zest. Un brin de fumée se développe ensuite, qu'on retrouvera en finale.
Finale un peu courte quand même, sur la fumée et le citron.
Avec un peu d'aération, le nez trouve un superbe équilibre entre fraîcheur citronée, tourbe légère et malt. C'est bien bon.


Un nez assez fermier, avec des odeurs campagnardes de foin mouillé, des épices, poivre assez marqué, un soupçon de fumée et de l'air marin à profusion.
La bouche est d'abord amère, avec des pointes d'acidité, des agrumes et semble d'abord manquer un peu de force. Elle ne manque cependant pas de complexité et au bout de quelques instants, ce whisky révèle tout son caractère. Un petit feu d'artifice en bouche avec des goûts allant de la noix à l'orange en passant par des arômes chocolatés, salés.
La finale est très impressionnante, avec ses parfums d'agrume mêlés à aux souvenirs de la bouche, et une légère note florale à la fin.

