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Une seconde dégustation a partiellement démenti les conclusions de la première. Sans en faire un grand whisky, le caractère doux et équilibré, quoique un peu simple de ce whisky a donné lieu à une cote nettement plus élevée que la première fois. Sans doute aussi une question d'ambiance…
2004

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Le nez est très floral et d'une douceur peut-être excessive et sans grande complexité avec cependant de très lointains relents de fumée et une légère pointe poivrée. En bouche, pas de grande surprise. Le nez est confirmé, le manque évident de complexité également. D'une douceur à la limite du doucereux. La finale est assez longue et légèrement plus relevée que l'impression en bouche.
2005

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Le nez donne l'impression de renifler un bouquet de fleurs, mais des fleurs assez discrètes, sans grand relief. En bouche, c'est la même impression, de la douceur sans complexité, du miel. Une finale qui continue sur cette impression de douceur, cependant très légèrement relevée d'une pointe d'épice. Un whisky d'une qualité incontestable, mais auquel j'ai personnellement beaucoup de mal à accrocher.
2005

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Petit whisky sans beaucoup de relief. Ce malt appartenant au groupe Glenmorangie (qui est également propriétaire de Ardbeg) ne laisse pas de souvenir imperissable. Le nez est très timide, et la première impression en bouche est assez indéfinissable. Certainement pas une mauvaise impression, mais rien ne vient annoncer un grand malt.
2003

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Couleur: Or
Un nez très agréable où se mêlent des notes fraîches d'herbe coupée, des notes douces de miel, un soupçon de menthe et quelques petits résidus de levure en arrière-fond. Agréable et complexe, ce nez laisse présager d'un grand plaisir à la dégustation. Il évolue assez fortement au cours du temps. De nouvelles sensations apparaissent au fur et à mesure, tantôt améliorant la perception globale comme ces effluves de menthe, tantôt moins agréables, comme ces relents de levure qui sont perceptibles.
La bouche est légèrement plus linéaire que ne l'était le nez. Ici c'est surtout la douceur qui prend le pas. Les excentricités du nez se se perpétuent pas ici, et c'est dommage. Après un magnifique départ, ce dégustation en revient à quelque chose de nettement plus classique, de moins exubérant, alors qu'on aurait tant aimé que ce nez formidable se traduise en une bouche du même acabit.
La finale suit malheureusement plus la bouche que le nez. Relativement discrète, elle est de longueur moyenne et ne laisse pas d'autre souvenir impérissable que celui d'un bon whisky fruité. Sans plus. Dommage.
2011