Caol Ila ( Officiel) - 18 years - 18 ans - 43,0%11 4
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Un nez agréablement marqué par une tourbe grasse et généreuse. De légers relents agrumiques assez doux en arrière-plan. Des odeurs de marmelade et de confiture de prunes.
En bouche, une belle tourbe également, riche et agréablement équilibrée se mêle à des notes légèrement fruitées et agréablement amères. Des épices en sus.
Belle finale, longue et marquée par la tourbe et des soupçons de fumée.
2008
PierreDH
Couleur : Paille claire
Nez : Très agréable ! Débute sur un côté fruité, sur la pomme et la poire. Ensuite citronné. Un peu de vanille. Des senteurs côtières et de la tourbe bien sûr. Pointe de solvant. Un soupçon de "wet dog" Dans l’ensemble c’est bien rond et la tourbe n’est pas agressive. Une impression d’assurance, de "feels like home" :)
Bouche : Douce et huileuse, un rien complexe.
Finale : Majoritairement fumée, mais une fumée délicate. Du chocolat noir puis une impression sucrée. Fine amertume. Belle longueur.
Commentaires : Un des rares tourbés que je peux encore déguster sans me sentir mal.
2011
Antoine
Petit lait, fumé leger comme son " concurrent "de chez Ardbeg, le 17 ans, et assez similaire.
Un beau cappuccino avec un mélange chocolat/café équilibré.
Un vrai régal rond et huileux.
2005
Amor57
Nez : Miel, chocolat et une pointe d'amertume (zeste de citron). La classe.
Bouche : Agrumes, épices (girofle ?), chocolat.
Finale : Longue. En continuité de la bouche. Retour en force sur la tourbe, puis agrumes et malt. Très doux, presque sucré. Un scotch de grande classe, extrêmement riche en arômes et goûts.
2008
David Kreb
S’il ne fallait qu’un mot pour décrire cette expérience (en exagérant un chouya, je serais même tenté de parler de révélation ! si, si !!!) alors ce serait ; subtilité. . .
Le nez est tout en finesse, équilibré, chaque élément y a sa place et ne prend le pas sur aucun autre. Légèrement iodé, légèrement tourbé et pourtant si expressif . . . c’est incroyable ! La bouche . . . ah, la bouche, ça pour tapisser, ça tapisse ! Onctueuse, sucrée, complexe et si fine qu’on en aurait presque la larme à l’œil ! (Fais attention, tu frises le Nervous Breakdown !)
C’est rond, c’est beau, c’est. . . . PPpfffff ??!!??
La finale loonnnnguueee, évolue doucement, tranquillement mais sûrement entre céréales et fumée.
Un beau moment. Impressionnant !
2008
Aw-Lyaka
Parfum d'augure en sveltesse d'harmonie. Tourbe agrumique accrochant quelques fumées océanes. Nez splendide, clairvoyant, charismatique sans être agressif. Touches légèrement tropicales masquées par les effluves de la Mer d' Ecosse. Les essences sont superbement nuancées marquant fortement une tourbe, certes omniprésente, mais non- oppressante. Moins sauvage et tourbée qu'un Ardbeg Ten, il développe en bouche des saveurs multiples. Un peu huileux mais en même temps très liquide " eau claire de roche ", ce whisky a comme des relents de bois frais. Une certaine fraîcheur d'autrefois. Des notes médicinales et végétales se joignent au festival d'arômes. De la tourbe, de la fumée, de l'iode, des épices en arrière-bouche, une merveille d'équilibre avec de légers relents citronique! s en finale qui laissent une impression globale vraiment magnifique, l'ensemble de la dégustation étant ponctué des parfums de la terre d' Islay, tourbe fumée juste comme il s'en faut, mer présente en arrière plan pour mieux subjuguer ses contemplateurs. C'est un édifice de magnificences, une perle perdue au beau milieu des flots. Secourez-la...
2008
Un magnifique nez, fumé mais très délicatement mais cependant puissance. Une très belle tourbe mais avec un je ne sais quoi de particulièrement agréablement parfumé, avec une pointe d'agrumes légèrement acide et de relents épicés. Bref, un nez sublime. En bouche une grande sensation de bonheur, mêlant la fumée aux agrumes, et les épices au malt. Une longue et très intéressante finale, où se retrouvent des restes de tout ce qui a été dit plus haut, mais avec en plus une petite amertume en arrière-fond, un très léger boisé qui en ajoute encore au charme du tout.
2003
Le nez est très subtil, mêlant de légers relents de tourbe à des odeurs marines tout en restant assez fruité. Ce whisky ne développe pas la même puissance que d'autres whiskies de l'Ile, mais est tout en nuances et en subtilité. En bouche, la complexité de ce whisky se confirme, le goût allant des agrumes doux au malt en passant par une variété d'épices discrètes. Une finale très agréable et longue, où tous les arômes détectés par le palais sont repassés en revue.
2004
Thomas Roussel
Couleur : or jaune légèrement pâlit.
Nez : Riche et complexe, élégant. On sent immédiatement les baies roses, la fumée, de la framboise. Puis une transition avec de la vanille, subtile, et surtout du sel et une odeur de pin. Des traces d’orange sanguine et d’alcool, ce dernier très léger. Magnifique.
La bouche attaque avec de la fumée, du sel et de la pomme à cidre, puis évolue sur de la tourbe, des fruits rouges avec une pointe d’agrume. L’ensemble est présent mais non-gras, ne tapisse pas le palais. Selon les dégustations, une pointe d’algue et des notes florales en milieu de bouche. Une fin de bouche sur l’orge malté.
Finale agréablement longue, avec un peu de miel, de beurre et de noisette. Toujours un peu de douce fumée.
Un peu de caramel, de fumée, de malt et plus généralement de céréales / germes de céréales apparaissent en rétro olfaction. Le verre vide finit sur le poivre, le salpêtre et la fumée.
Pour mémoire, ce Caol Ila est moins tourbé ou fumé mais beaucoup plus riche et plaisant que le Lagavulin 16 yo, qui doit lui être ouvert d’une (et une seule) goutte d’eau.
2013
Le bonheur commence dès qu'on approche le verre du nez. Une foule d'arômes complexes, alliant la tourbe et la fumée à des notes plus acides donne immédiatement le ton. On a nettement affaire à un Caol Ila de très grande qualité. Le bonheur continue en bouche où une explosion de goûts tout aussi complexes que les arômes détectés par le nez offrent au palais une véritable fête. La longue finale vient couronner le tout. Une très bonne bouteille à ne rater à aucun prix.
2005
Pépé
Un nez extrêmement salé, avec des algues et des huîtres. Par dessus çà, de la pomme. C'est beau.
Au bout de 5 minutes, la pomme prend le dessus, accompagnée par un peu de citron.
En bouche, d'abord fumé, puis légèrement sucré et de la pomme. Ensuite s'installe quelque-chose d'assez massif, lourd, qui amène du poisson. Une fois là, cette sensation reste jusqu'en finale.
Une finale bien longue sur ce côté marin et fumé.
Un joli Caol Ila, bien maritime.
2015