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Quelle déception! Il existe de si belles versions de Bladnoch, ce whisky qui m'a réconcilié avec les malts des Lowlands. J'espérais trouver dans cette version brut de fût tous les plaisirs des senteurs d'herbe coupée si caractéristiques des whiskies de cette région.
Malheureusement, le goût en bouche m'a beaucoup plus fait penser à un vulgaire alcool de grain blanc et très jeune. Le degré d'alcool ne fait que rajouter une impression de brûlure dans la bouche.
Cette bouteille est à éviter dans la mesure du possible.
2003

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Une seconde dégustation des mois plus tard n'a pas permis de confirmer la première impression. Au contraire, le nez s'est montré agréable d'emblée, avec les notes traditionnelles de fraîcheur si caractéristiques des whiskies des Lowlands.
En bouche, le taux d'alcool ne semblait plus gênant comme lors de la première dégustation, et le whisky s'est montré assez agréable à boire.
Une finale assez longue aussi... Le mystère de l'énorme différence d'appréciation d'une dégustation à l'autre réside-t-il dans le fait que la bouteille était ouverte depuis un certain temps la seconde fois? Une question d'oxydation? Mystère.…
2004

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Un nez à la fois fruité et légèrement médicinal (éther) avec de légers relents d'herbe coupée annonce un whisky de belle tenue.
En bouche, un goût rappelant plus l'alcool de poire que le whisky vient tempérer la promesse de plaisir initiale. Un whisky relativement plat même si le taux d'alcool ne gêne pas la dégustation.
Une finale assez longue, toujours marquée par les fruits mûrs (poire).
2005