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Un beau café chocolat au nez, assez fruité en plus et bien enveloppant. Une petite odeur de colle pas désagréable mélangé à du pruneau confit En bouche la force du breuvage vous prend la langue à chaque gorgée et il ressemble plus à un armagnac ou cognac, tel un Aberlour Abunad'h. Le fruité est aussi piquant et toutes les papilles « s'éclatent » dans ce mélange de fruit sucré( prune et fruits rouges) ,onctueux, et peut être un peu salé ; pour une finale bien plantée qui laisse une chaleur envahissante au corps.
2006

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Couleur : Cuivré
Nez : Puissant et alcooleux. Il s'agit de ne pas trop enfoncer le nez dans le verre. Il est marqué par le pain d'épices et le café, et bien entendu le sherry, avec un côté salé. Des notes de caramel apparaissent à l'aération.
Bouche : La bouche, alcooleuse, évoque un armagnac. On y trouve du pruneau et du pain d'épices, du sel aussi. Il y a aussi une forme de « fraîcheur boisée » (j'ai pas trouvé mieux là).
Finale : Plus suave que ne le laissait supposer la bouche, et assez intense et longue. Elle est boisée et dans la continuité de la bouche, avec peut-être une amertume accrue.
Conclusion : Ce Glenfarclas me fait vraiment penser à un Armagnac, de par son boisé et son fruité. Le problème est que l'on sent beaucoup trop l'alcool, en par! ticulier en bouche, et que l'ajout d'eau ne l'améliore pas vraiment. Heureusement, l'alcool ne parvient pas à en écraser les saveurs.
2009

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Robe: Vieil or.
Nez: Tout d’abord un peu fermé, évoque un grenier poussiéreux. Il s’ouvre petit à petit mais reste toujours assez délicat, jamais exubérant. Assez céréalier et pâtissier. Bien sur, il y a du fruit, c’est un sherry cask tout de même, mais ici, c’est une composante parmi les autres, et pas forcément le trait principal. Du coup, difficile de trouver de quel(s) fruit(s) il s’agit. L’aération de modifie pas le profil aromatique. L’ajout d’eau intensifie l’expressivité, mais on reste sur les mêmes notes, justes un peu plus pointues. On y découvre alors des notes animales, sur le cuir, et un peu d’acidulé, mais sans aller jusqu’au bonbon chimique.
Bouche : Encore un CS ou l’alcool est très bien intégré. C’est très doux, onctueux, et la encore, le fruit, si sa présence est indéniable, est difficilement identifiable. Sauf à la déglutition ou d’un seul coup, ça bascule sur la banane verte et la tomate. Assez étonnant, voir joueur. L’ajout d’eau lui apporte encore plus de rondeur et d’onctuosité. Le fruit s’exprime un tout petit peu plus, et surtout devient acidulé.
Finale : Complètement en prolongement de la bouche, avec une très légère astringence. Etonnament, l’ajout d’eau développe très nettement la finale qui prend beaucoup de puissance, devient chaleureuse, sans jamais aller jusqu’à devenir agressive.
Mon impression : Un whisky très contenu, maîtrisé, étonnant pour son (présumé) jeune age. Il gagne à faire trempette, surtout sa finale qui est alors révélée, voir sublimée. Toutefois, un whisky pas évident dont on peut facilement passer à côte, si on ne lui accorde pas un minimum d’attention, ce qui serait dommage.
2009