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Couleur : Or pâle.
Nez : L'un de ces malts qui vous font vous exclamer "Ca sent trop bon !" dès que vous mettez le nez dessus. Ici, on est en plein territoire Haribo. Des nounours (les jaunes), des crocodiles (les jaunes aussi). Acidulé et pétillant. "Mandarine bonbon" des épiceries chinoises. Citrique (kumquat fraîche et gingembre). Le bois s'exprime (un peu de vanille et de muscade râpée), mais sait rester dans le rang, sans lourdeur, sans suavité excessive : on échappe à la barbe à papa et au Malibu pour rester sur un registre plus "propre" et plus léger, que vient illustrer une petite touche florale (jasmin ?).
Bouche : Encore plus "wouah !" que le nez. D'abord une attaque plutôt discrète, puis la grosse baffe exotique arrive, dominée par la goyave et la banane au jus d'orange. Un délice.
Finale : L'exotisme gourmand évolue sur l'exotisme plus sec d'un Pomelo mal épluché qui apporte une pointe d'amertume et de complexité à ce très bel ensemble.
Commentaire : Un Lochside exemplaire au sens propre du terme, qui démontre qu'un whisky peut être très exotique et très élégant à la fois.
2011

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Un nez sur les fruits jaunes et le gingembre qui continue sur une bouche aux fruits exotiques frais sur lit de gingembre et de muscade, le tout enrobé dans une texture épaisse d’Highland. Un final sur les épices avec un retour sur le fruit. C’est juste fantastique, plus à mon goût que les Benriach 75/76 que j’ai pu goûter
2012