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Oh, les gars, j’crois que je viens de perdre ma figure de proue . . . Hein, ben il est où ton blaire ? Au fond du verre ! Adjonction de quelques gouttes d’eau recta . . . . Et là ! Whooowww, un fruité incomparables sur les raisins bien mûres, les fruits exotiques type ananas, litchi . . . . . sur un fond de céréales ! Une première gorgée ; Pfouyouyou, ça chauffe les oreilles ! Très rond, intense, complexe, les mots me manque . . . toujours ce caractère fruité exceptionnel relevé par ce côté piquant épicé (ou peut-être dû au fort degré alcoolique ?) Une finale longue, chaude, caressante . . . Un réel moment de plaisir !
2007

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Bouteille ouverte le 22 mars 2006. Dégustation du 27 mai 2006.
Sans adjonction d'eau :
Incontestablement au nez c'est un Edradour. On prend l'amande amère en pleine figure. C'est fort, alcooleux, très alcooleux. Derrière on devine plus qu'on ne perçoit des fruit sucrés et de la céréale.
En bouche l'amande et la pistache éclatent. Des fruits suivent mais sont très vite écrasés par la force de l'alcool.
La finale et longue, sur les fruits secs et l'abricot, mais encore alcooleuse.
2008

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Avec adjonction d'eau :
Ce n'est plus le même whisky.
Au nez le chocolat noir domine, avec de la vanille, les fruits chauds et sucrés d'été, sur un fond de céréales.
En bouche le caractère alcooleux a complètement disparu. On tourne sur la pistache, les fruits (abricot) et le chocolat. Très équilibré et riche.
La finale perd en longueur, mais reste sur les mêmes touches. C'est un ensemble intéressant.
2009