Sonic a écrit :[...] Sinon, vous les anciens, pouvez vous me dire si tous les glengoyne des années 72 ont ce même profil ?
Peu ou prou, oui. Ils sont tous taillés pour les gourmands. Des malts doux, fruités, pleins de miel. Parfois trop doux, limite un peu poisseux. C'est sur ce critère que ce joue la différence entre les sublimes, qui ont su garder plus de "peps", et les très bons, parfois un peu mous du genou. Au rang des premiers, je range le fabuleux
"Strawberry fields & heather" the TWA, qui porte bien son nom, et le plus racoleur
Jack Wiebers C#4201, un peu lourd mais tellement spectaculaire et facile à boire...
Le DD est moins poisseux que le JWWW, plus "light" et moins concentré que le TWA, mais assez spectaculaire côté fruit exotique et mirabelle trop mûre.