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Sur ce whisky, il est difficile d'échapper au sherry, présent tout au long de la dégustation, à commencer par la robe. En bouche, fruits secs, colle avec une tourbe légère, puis retour sur les fruits séchés (noix, figue, amande, pruneau) et la vanille. Une note de gentiane fait une discrète et timide apparition. En bouche, tout est sherry et rien d'autre. La finale, encore à dominante sherry, s'enrichit avec du camphre, des fruits exotiques et de la cerise à l'eau de vie. L'alcool est présent mais supportable. Je trouve cette expression trop déséquilibrée vers le sherry qui masque tout ou presque du reste. Il n'en reste pas moins que la dégustation en est fort agréable.
2008

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Nez : racé, ample, jus de cerise séché et charbon de bois, un peu de réglisse, pomme sèche.
Bouche : attaque douce, huileuse, juteuse et concentrée. Magnifique !
Cerneaux de noix, pomme d'amour, légère amertume vineuse et boisée.
S'ouvre sur des notes empyreumathiques (eucalyptus), levure de bière, épices (poivre), cendre. Pas la moindre trace de tourbe.
La finale est longue à souhait, sur la pomme verte et le poivre blanc. Un feu de cheminée éteint. Splendide sherry cask.

A mon avis, ce n'est pas un Speyside. Même si certains Dalmore peuvent se rapprocher de ce style, ce diot être un Glengoyne sherry cask, brut de fût, de 16-20 ans (un Wareman's choice ?).
J'adore ce style. Pour chipoter, je lui reprocherai une influence du sherry juste un peu excessive (lé! ger manque d'équilibre). C'est tout de même l'un des 3 ou 4 whiskies qui m'ont le plus accroché au cours de ce blind.
2008

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Couleur: Ambre
Nez : Très marqué par le sherry, sec, tannique, sur le cuir, les épices et les vieux pneus.
Bouche : Très marqué par le sherry, le bois et le caoutchouc, sec, tannique, sur les épices. La finale est longue, sèche, très caoutchouteuse, tannique et sur les épices (cannelle en poudre).
2008

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nez : sherry, caramel, vanille, caoutchouc brûlé - bouche : très voire même trop sherry, côté amer, limite viandeux, marmelade, aigre-doux
- finale : amère, carrément sherry, longue et soyeuse.
2008

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Couleur : Acajou à reflets rouges. Superbe. A la première dégustation, le nez était d'abord à fond sur la praline, les chouchoux des plages, les peaux des amandes après émondage. Ca m'a furieusement rappelé l'Edradour 10yo SV (single cask en canister métal). Mais ça ne peut pas être ça : la teinte est plus soutenue, le nez plus riche en alcool, et plus riche tout court : il présente en plus ce fruité gras et lourd des vieux Sherry ; cerises à l'eau de vie, chocolat "Mon Chéri". Et cet acidulé qui équilibre la liqueur et que j'aime tant dans certains vénérables Glen Keith ou Longmorn. Egalement du raisin sec que l'on aurait fait regonfler dans de l'Armagnac. Pas mal d'épices (cannelle). Un excellent Strudel aux pommes (compotée de pommes chaudes + raisins secs macérés + be! aucoup de sucre et de canelle, le tout présenté façon tourtière). Et toujours de la praline, et des peaux d'amandes qui préfigurent de la présence de pas mal de tanins.
L'attaque est savoureuse, riche en sucres, sur le fruit très mûr (cerises noires et abricot sec). La bouche gagne en vinosité, et évolue sur les fruits secs (amandes rôties). Le développement est lent, il prend son temps. Les arômes se développent sans hâte, mais avec une montée en puissance constante et régulière. Pareil pour la sensation alcoolique, qui se développe proportinellement aux sensations gustatives, dans un formidable équilibre. La liqueur prend possession de chaque papille, et s'y accroche (beaucoup de gras !) dans une drôle de bataille tactique à laquelle on succombe sans trop combattre. Il y'a là dedans vraiment pas mal de tanins en deuxième partie de bouche, mais le développement simultané des saveurs et de la puissance alcoolique permettent d'en atténuer la sensation.
Une certaine astringeance marque une finale longue et goûteuse, accompagnée ! d'une lé gère amertume qui reste cohérente par rapport au profil du whisky.
En résumé, voici un whisky vraiment très savoureux (il a du goût, quoi...), que l'on a bien fait de retirer de son fût à ce moment là. Plus longtemps, les tanins l'auraient sans doute écrasé, moins longtemps, il serait resté trop d'alcool. Merci monsieur l'embouteilleur !
Vieux Longmorn, Mortlach, ou Ballindalloch ?
2008

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De fortes effluves de sherry envahissent d'abord le nez, avant d'évoluer sur le fruit (prune) et sur des notes de chocolat et de café. Très plaisant en tout cas.
En bouche, c'est encore le sherry qui domine. La bouche est assez sèche et boisée au départ, et les impressions en bouche vont du sherry au sherry, en passant par le sherry. Bien sûr de belles notes de chocolat et de fruit s'y ajoutent. C'est ce qu'on appelle un véritable sherry monster...!
La finale est du même tonneau (si j'ose dire). Elle est longue et agréable.
Un excellent whisky surtout pour les amateurs de sherry...!
2008

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Nez
noix résiné, cafe torréfaction,
Bouche
gras, sherry monster, café fève de cacao
finale
longue sherry trop (?) dominant (Glenfarclas ?)
2008

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Aspect:
Ambre fonçé, larges jambes s écoulant très lentement
Nez:
Moyennement intense, pas d alcool gènant, sherry, suave, café, prunes, raisin, rancio / avec 3 gouttes d eau: pas de changement
Bouche:
Intense, soyeux, saveurs comme au nez avec une pointe d amertume qui s ajoute / avec 3 gouttes d eau: un peu moins intense
Finale:
Longue, suave et chauffante sur le sherry / avec 3 gouttes d eau: pas de changement
Conclusion:
Un très beau sherry classique, 91/100

2008

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Couleur ambrée avec des reflets dorés.
Dès la première approche, on peut difficilement faire abstraction du sherry. Le nez est clairement sur la pomme cuite au four sur laquelle on aurait versé du sucre vanillé accompagné d'une pointe de girofle. Le bois brulé et les céréales y sont également présents.
La bouche s'annonce d'abord crémeuse, sur la tarte tatin, la noix, les raisins secs macérés dans un armagnac et des notes miellées. Un joli boisé accompagne ce dram.
Belle et longue finale qui s'assèche lentement toujours sur la noix et le chocolat.
C'est le genre de malt qui typiquement ne fait pas sont degré d'alcool. J'aurai tendance à dire environ 55% (mais ça pourrait être proche de 60%). Je verrai bien un Glengoyne d'une quinzaine d'année. En tout cas j'aime beaucoup!

2008