Mortlach 22yo (1957-79) 45,7% Samaroli
Publié : 26 avr. 2009, 19:55
Hier soir, au cours de la dernière soirée du COMAW, nous avons eu le plaisir de découvrir différentes expressions de la distillerie Mortlach grâce à Alain.
Je ne connaissais pas Mortlach à l’exception d’un 90-06 de chez GM à 46%, bien trop marqué par le bois à mon goût. Cette petite soirée m’a permis de mieux cerner la typicité de cette distillerie.
Nous avons entre autres goûté cette bouteille, ou devrais-je dire cette merveille !
Une pure bombe, certainement le meilleur whisky que j’ai goûté à ce jour. En comparaison, même si ça n’a aucun sens, je n’échangerais pas 2 bouteilles d’Ardbeg 74-06 pour LMDW que j’ai goûté jeudi dernier contre ce Mortlach.
Au nez : un nectar divin, une vraie corbeille de fruits où s’entremêlent agrumes (citron), fruits rouges (cassis) et des fruits exotiques. On perçoit également un brin de fumée.
En bouche : c’est une explosion de fruits avec toujours cette douce fumée et le caractère viandé, apparemment bien caractéristique de la distillerie qui fait son entrée.
La finale : d’une intensité moyenne, elle n’en est pas moins persistante sur le viandé de la bouche.
Une pure merveille, et même si son prix équivaut à dix fois l’entrée de gamme, ça ne fait pas de doute c’est au moins dix fois meilleur !
Franchement, un grand merci à Alain, un homme qui a le cœur sur la main !
Je ne connaissais pas Mortlach à l’exception d’un 90-06 de chez GM à 46%, bien trop marqué par le bois à mon goût. Cette petite soirée m’a permis de mieux cerner la typicité de cette distillerie.
Nous avons entre autres goûté cette bouteille, ou devrais-je dire cette merveille !
Une pure bombe, certainement le meilleur whisky que j’ai goûté à ce jour. En comparaison, même si ça n’a aucun sens, je n’échangerais pas 2 bouteilles d’Ardbeg 74-06 pour LMDW que j’ai goûté jeudi dernier contre ce Mortlach.
Au nez : un nectar divin, une vraie corbeille de fruits où s’entremêlent agrumes (citron), fruits rouges (cassis) et des fruits exotiques. On perçoit également un brin de fumée.
En bouche : c’est une explosion de fruits avec toujours cette douce fumée et le caractère viandé, apparemment bien caractéristique de la distillerie qui fait son entrée.
La finale : d’une intensité moyenne, elle n’en est pas moins persistante sur le viandé de la bouche.
Une pure merveille, et même si son prix équivaut à dix fois l’entrée de gamme, ça ne fait pas de doute c’est au moins dix fois meilleur !
Franchement, un grand merci à Alain, un homme qui a le cœur sur la main !