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Stève (écrit depuis mobile)
Modérateur : Modérateurs
Les grands whiskys restent des grands whiskys.LsR a écrit :Pour en revenir aux salons, j'ai fait 3 Whisky Live et, même si ca a un peu évoluer entre le premier et le dernier, j'ai eu de vrais surprises en regoutant des whiskies testés en fin de salon que j'avais trouvé pas du tout intéressant ! )) Après, c'est peut-être juste une histoire d'expérience... Je sortirai ce sujet dans 5-10 ans
Alors en effet, la fatigue rentre en jeu, disons que pour moi, 8h de dégust, c'est la limite. On aurait d'ailleurs pu prolonger jusqu'au petit matin, on avait encore des munitions, mais en effet, il y a un stade où papilles et capacités sont saturées. Mais comme l'a dit Canis, le fait d'être en bonne compagnie, avec un ami qu'on n'a pas l'occasion de voir souvent, et d'échanger sur le whisky permet vraiment de palier nos propres petites défaillances.LsR a écrit : La question n'était pas tant sur la quantité d'alcool bue au total mais sur la capacité du nez et des papilles à pouvoir apprécier correctement les derniers whiskies (surtout quand on voit les whiskies que vous avez dégusté en fin de soirée). Est-ce que l'accumulation de whiskies ne fait pas que, au bout d'un moment, il y a un risque de mélanger ou confondre les sensations ? De même, est-ce qu'on a la même appréciation d'un même whisky à 20h qu'à 3h du matin ? est-ce que la fatigue ne rentre pas en jeu ?
Attention, je ne cherches pas à juger ta soirée et ton line-up, Steph2A ! Je cherches à comprendre la démarche et à prendre votre expérience![]()
Ok, je comprends tout à fait. Le but est moins de faire attention à la saveur qui arrive en vingtaine position que de partager et profiter de ce whisky, quelqu'il soit, avec les amis avec les quelles tu a choisi de le partager.Steph2A a écrit :Bien sûr, à ce moment de la soirée, on est plus dans le partage et le plaisir d'apprécier un excellent dram que dans l'analyse pure. Mais peu importe, le whisky, c'est d'abord du plaisir. Et oui, on peut en enchaîner une petite vingtaine sans passer à côté d'une tuerie.
Content qu'il te plaise! J'en ai un bon fond de bouteille que je garde pour mes 36 ans.Steph2A a écrit : Encore une fois, tant pis pourvu que le plaisir soit au rendez-vous. Et avec une bombe du niveau de ce Springbank 1970 par exemple, on prend son pied, et il faudrait vraiment avoir le nez bouché et sortir d'un repas mexicain la bouche en fusion pour "passer à côté" tant il est immédiat.
C'est un peu comme avec un grand morceau de musique, un chef d'oeuvre du 7e art ou un livre d'un grand auteur et que dès les premiers instants tu te dis : "Wahou, ça va être énorme !" et que tu te laisse complètement porter par l'expérience. Le reste, c'est du blabla.
on embauche tu saisdede a écrit : Ca sent, entre autres, la vieille traverse de chemin de fer
Salaud ! J'étais sur qu'on pouvait pas faire confiance à quelqu'un qui a grandi à Epernay.Pouya a écrit : Le seul point noir de la soirée : les blagues de Daimon. Mais on le savait.