Whisky et distilleries: Forum

C'est exactement le 13 février qu'Alain avait lançé l'idée dun Blind 2008 :D
Donc, je profite de ce vendredi 13 février pour amorcer un blind tasting 2009.
Mêmes règles que le années précédentes (scotch single malt, samples de 5 cl, 13 participants maximum, compte-rendu écrit pour une date butoir) mis à part que je propose qu'on fasse parvenir la photo et les coordonnées de nos bouteilles dès le début à Jean-Marie pour lui faciliter un peu la tâche (il n'aura qu'à pas regarder avant la fin du blind ce qui sera un peu plus difficile )
Dans le topic du blind 2008 il y avait toute une série de forumeurs qui avaient déjà annoncés qu'ils sont intéressés par une nouvelle édition. Donc à eux de confirmer leur participation dans le présent sujet et aux autres forumeurs qui veulent tenter l'expérience de manifester également leur intérêt.

Participants blind tasting 2009:
- Savoureur
- ...

Dans quelques années ce sera avec plaisir pour moi mais là c'est bien trop tôt.

Dans quelques années ce sera avec plaisir pour moi mais là c'est bien trop tôt.

Il n'est jamais trop tot! N'hésite pas, c'est une bonne expérience!

En ce qui me concerne, s'il reste une place, lorsque tous les forumeurs intéressés seront inscrits, je la prendrai...

je propose qu'on fasse parvenir la photo et les coordonnées de nos bouteilles dès le début à Jean-Marie pour lui faciliter un peu la tâche

Pourquoi ne pas lui faire parvenir lorsqu'il aura terminé de déguster les "n" échantillons (Jean-Marie est toujours très en avance dans ce genre d'exercice, et il ne sera donc pas tenté de connaitre la provenance des samples)?

Moi je suis partant.

Comment on procède?
Chacun achète une bouteille et envoie les échantillons aux 13 membres?

ttn a écrit :
En ce qui me concerne, s'il reste une place, lorsque tous les forumeurs intéressés seront inscrits, je la prendrai...

Disons que je veux bien faire comme toi, en passant après toi.

Chacun achète une bouteille et envoie les échantillons aux 13 membres?

Trop contraignant Anthony. 13 samples envoyé à 5 euros ca va faire cher.
L'idéal est l'échange lors d'une rencontre style witch, live ou autre. Ou alors trouver un pourvoyeur
qui peut "monter" tes samples et te ramener les autres.
C'est d'ailleurs pour cela que je ne participe pas, trop loin de la majorité des membres

Dans quelques années ce sera avec plaisir pour moi mais là c'est bien trop tôt.

Au contraire, c'est le meilleur moyen de progresser. La dégustation à l'aveugle permet une approche différente sans apriori.


David

Perso, j'y vois deux autres points qui m'empêchent d'y participer:
- Le niveau des bouteilles des éditions précédentes. T'as pas intérêt à balancer une bouteille à 40€
- La taille et le nombre des samples (6cl) qui font que toute la bouteille y passe.

En gros, tu achètes une bonne bouteille, d'un certain prix, et dont tu ne vas partiquement pas profiter. Certes, en échange, tu reçoit pas mal d'autres échantillon fort intéressants et sans doute plaisant, c'est donc "rentable". Il n'en reste pas moins que ce jeu recquiert des participants une certaine mise de fond.

- Le niveau des bouteilles des éditions précédentes. T'as pas intérêt à balancer une bouteille à 40€

L'année dernière c'était 50/80 euros.

Il faudrait organiser des blinds par catégorie de prix (0-50 / 50-100 / 100-150 / 150+).
Ou alors il faut un organisateur, chacun lui envoie x €, il achète les bouteilles/échantillons avec cet argent, et il envoie un paquet à chaque participant.

Moi ! Moi !
D'accord j'ai fini deux fois dernier, mais l'exercice du blind est rigolo, et le choix de la bouteille à partager est un bon moment !
La première année, Jean-Marie avait défini une règle : flacons autour de 50/80€. L'année dernière, nous étions beaucoup plus libre. Est-ce que l'on se fixe une contrainte cette année, ou pas ?

La formule que nous avons utilisé à 4 reprises déjà est excellente.
Comme le disait Savoureur, la seule contrainte est le fait qu'il doit s'agir d'un single malt écossais (donc pas de blends, pas de vatted ni de japonais...). Pour le reste c'est totalement ouvert.
Et je ne suis pas de ceux qui pensent que plus une bouteille est chère plus elle est bonne...
On peut parfois avoir de très belles surprises à un prix tout à fait abordable. Je pense que Jean Boyer est un exemple de ce genre de flacons. Excellents mais payables.
Evidemment s'il prenait à l'un des participants de proposer un Black (ou white) Bowmore, libre à lui. Mais dans ce cas je suis d'accord avec la proposition de m'envoyer les photos à l'avance... Sinon non! Ceci dit, si on peut éviter le Loch Lomond...
J'ai déjà assez de boulot pour mettre à jour les notes reçues que pour ne pas en plus devoir stocker quelque part des données que je ne peux pas regarder...
Les résultats doivent être envoyés à la fin de l"épreuve" et le lieu idéal pour la distribution est le WitC.
Nous avons essayé le whisky live pour les premières éditions, mais c'est loin d'être les conditions idéales.
Je participerai cette année encore. C'est vrai que c'est super instructif.

canis lupus a écrit : En gros, tu achètes une bonne bouteille, d'un certain prix, et dont tu ne vas partiquement pas profiter. Certes, en échange, tu reçoit pas mal d'autres échantillon fort intéressants et sans doute plaisant, c'est donc "rentable". Il n'en reste pas moins que ce jeu recquiert des participants une certaine mise de fond.

Là tu me deçois un peu ...

pompix a écrit :

canis lupus a écrit : En gros, tu achètes une bonne bouteille, d'un certain prix, et dont tu ne vas partiquement pas profiter. Certes, en échange, tu reçoit pas mal d'autres échantillon fort intéressants et sans doute plaisant, c'est donc "rentable". Il n'en reste pas moins que ce jeu recquiert des participants une certaine mise de fond.

Là tu me deçois un peu ...

Pourquoi dont ? A cause des fautes ?

Je sais pas trop, en te lisant j'ai eu l'impression que ce qui t'importait le plus dans un blind test c'était d'être un minimum rentable.

pompix a écrit :Je sais pas trop, en te lisant j'ai eu l'impression que ce qui t'importait le plus dans un blind test c'était d'être un minimum rentable.

Ah non, c'est tout le contraire en fait. Ce que je dit, c'est que la rentabilité etait le seul point d'assuré et de positif. Encore faut-il s'entendre sur ce que j'entends par rentabilité. je ne parle pas ici de pognon, mais bien de rentabilité whiskesque, sous forme de diversité de découverte. En gros, tu distribue un whisky, et en échange, tu en decouvre 12.