Merci pour le retour des "bouchons à vis"!
Je ne doutais pas que certaines quilles émérites en soient attribuées!
Sinon,question subsidiaire :
Et qu'en est il aussi des fermetures à vis sur les samplers ,par rapport aux bouchons en plastoque?
Bouchon en liège VS bouchon synthétique
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Re: Bouchon en liège VS bouchon synthétique
Au sec, c'est vite dit. L'eau-de-vie s'evapore constamment et la vapeur va carresser le bouchon. Humidite il y a.canis lupus a écrit :pourquoi sècheraient-ils uniquement quand ils sont hors bouteille et pas quand ils sont dans leur goulot, puisque dans les deux cas, ils sont au sec ?
"Une des rares choses qui procurent plus de satisfaction que goûter un grand whisky, c'est goûter un grand whisky que personne d'autre n'a goûté."
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- Jean-Michel
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Re: Bouchon en liège VS bouchon synthétique
2 Talisker Jean Boyer. Un qui casse, je pioche dans mon lot de bouchons JB de secours, tous flottent. Je prends celui d'un JB pas cassé, ça jointe. Et je prends le pari que si je l'essaie dans 2 ans, il flottera à son tour.canis lupus a écrit :Outre que je n'ai jamais constaté ce problème, il me semble qu'il y a une incohérence dans ta phrase.Jean-Michel a écrit :Pas d'accord. Quand dans un lot de plus de 100 bouchons provenant tous de bouteilles droites, tous "flottent" dans un goulot de bouteille droite Jean Boyer (y compris les bouchons Jean Boyer), ce n'est pas un problème de dimension initial, c'est que ton bouchon a rétréci au non-lavage.
"plus de 100 bouchons provenant tous de bouteilles droites", si la seule similitude est "bouteille droite", ne constitue pas un lot (au sens homogène) puisque toutes les bouteilles droites n'ont pas forcément le même diamètre de goulot selon le fournisseur.
Jean-Michel a écrit :C'est aussi une des raisons pour lesquelles on fait la soupe aux bouchons avant de mettre un cubi en bouteille.
D'un embouteilleur (et d'une collection) à l'autre, il y'a une sacrée dispersion technologique quand tu regardes les bouchons utilisés pour les eaux de vie !canis lupus a écrit :Oui, pour le vin, mais pour les eaux-de-vie ? Franchement, même si c'est du liège dans les deux cas, ça saute aux yeux que la matière n'est pas la même quand tu compare un bouchon à vin et un bouchon à eau-de-vie.
Parce qu'ils ne sont pas au sec quand ils sont dans leur goulot... Ca distille en permanence. Y'a toujours de l'humidité en haut du goulot. Et quitte à me contredire, j'ai des bouchons qui se sont malgré tout dessécher aussi, jusqu'à en devenir friables. Ca a été le cas sur une paire de Rare Malts, mais aussi sur un HP ancien avec un énorme bouchon (plus large que les Ord 30 ans, par exemple). Jamais ouvert, et quand je l'ai reçu, ça sentait bon dans le carton. Ca fuyait de partout, et le bouchon flottait. C'est le seul pour lequel j'ai fait l'essai de le laisser tremper (48h). Ca n'a pas suffi.canis lupus a écrit :Après, je veux bien volontiers croire que chez toi, les bouchons "sèchent" et rétrécissent, peut-être un spécificité climatique Toulousaine, mais d'une part, pourquoi sècheraient-ils uniquement quand ils sont hors bouteille et pas quand ils sont dans leur goulot, puisque dans les deux cas, ils sont au sec ?
- Jean-Michel
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Re: Bouchon en liège VS bouchon synthétique
2 Talisker Jean Boyer. Un qui casse, je pioche dans mon lot de bouchons JB de secours, tous flottent. Je prends celui d'un JB pas cassé, ça jointe. Et je prends le pari que si je l'essaie dans 2 ans, il flottera à son tour.canis lupus a écrit :Outre que je n'ai jamais constaté ce problème, il me semble qu'il y a une incohérence dans ta phrase.Jean-Michel a écrit :Pas d'accord. Quand dans un lot de plus de 100 bouchons provenant tous de bouteilles droites, tous "flottent" dans un goulot de bouteille droite Jean Boyer (y compris les bouchons Jean Boyer), ce n'est pas un problème de dimension initial, c'est que ton bouchon a rétréci au non-lavage.
"plus de 100 bouchons provenant tous de bouteilles droites", si la seule similitude est "bouteille droite", ne constitue pas un lot (au sens homogène) puisque toutes les bouteilles droites n'ont pas forcément le même diamètre de goulot selon le fournisseur.
D'un embouteilleur (et d'une collection) à l'autre, il y'a une sacrée dispersion technologique quand tu regardes les bouchons utilisés pour les eaux de vie !canis lupus a écrit :Oui, pour le vin, mais pour les eaux-de-vie ? Franchement, même si c'est du liège dans les deux cas, ça saute aux yeux que la matière n'est pas la même quand tu compare un bouchon à vin et un bouchon à eau-de-vie.Jean-Michel a écrit :C'est aussi une des raisons pour lesquelles on fait la soupe aux bouchons avant de mettre un cubi en bouteille.
Parce qu'ils ne sont pas au sec quand ils sont dans leur goulot... Ca distille en permanence. Y'a toujours de l'humidité en haut du goulot. Et quitte à me contredire, j'ai des bouchons qui se sont malgré tout dessécher aussi, jusqu'à en devenir friables. Ca a été le cas sur une paire de Rare Malts, mais aussi sur un HP ancien avec un énorme bouchon (plus large que les Ord 30 ans, par exemple). Jamais ouvert, et quand je l'ai reçu, ça sentait bon dans le carton. Ca fuyait de partout, et le bouchon flottait. C'est le seul pour lequel j'ai fait l'essai de le laisser tremper (48h). Ca n'a pas suffi.[/quote]canis lupus a écrit :Après, je veux bien volontiers croire que chez toi, les bouchons "sèchent" et rétrécissent, peut-être un spécificité climatique Toulousaine, mais d'une part, pourquoi sècheraient-ils uniquement quand ils sont hors bouteille et pas quand ils sont dans leur goulot, puisque dans les deux cas, ils sont au sec ?