C'est sur, les infos ça peut circuler très vite..
Étant néophyte, n'ayant jamais goûté de ben nevis j'aimerait votre avis sur ce whisky. Jai conseillé un ami d'acheter à la distillerie un ben nevis tourbé de 2004 à 58% pour 75£. Il me vend la moitié, je ne l'ai pas encore vu. Tout ce que j'ai trouvé c'est que c'est la version tks n°8
pour le marché suédois depuis le 20/04, soit 3 Jr après l'achat. Hâte de goûter je suis en manque de tourbe et j'ai une demi uigeadail qui arrive aussi en même temps (il me manque). Tout ça pour dire que s'il est bon c'est peut-être le lancement de la mode du ben nevis tourbé. Ça fait longtemps apparemment que la distillerie n'avait pas distillé du tourbé et ça a repris en 2004?
Qui sera le devin?
Modérateur : Modérateurs
Re: Qui sera le devin?
L'alcool est un ennemi, celui qui recule devant l'ennemi est un lâche!
https://www.whiskybase.com/profile/fab56
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Re: Qui sera le devin?
Il n'est pas encore sur whiskybase, sûrement embouteillé en 2017 donc 13 ans.
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Re: Qui sera le devin?
Un hogshead je crois
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Re: Qui sera le devin?
A la lecture du post et de vos avis, je me demande quelle peut être l'origine de "l'effet de mode" ? Est-ce justement du a la qualité d'une distillerie qui augmente et donc a la qualité de ses embouteillages qui s'améliorent ou alors est-ce du au marché de la spéculation ?
J'entends par la que beaucoup de néophytes ou petits amateurs se fient en premiers aux whiskies "hypes" tels que ceux désignés comme "meilleur single malt au monde" ou "meilleur whisky du monde" par l'homme au chapeau sans vraiment connaitre ce qu'il vont acheter. Ils vont chercher à les acheter pour spéculer, ce qui influe le marché à la hausse au niveau des tarifs mais pas nécessairement au niveau de la qualité car il faut produire plus et vite pour les distilleries concernées.
Je pense que beaucoup d'entre eux aimeraient savoir quelle sera la prochaine distillerie "to have". Mais a mon humble avis, je pense que l'idée même de vouloir le savoir va à l'encontre de ce pourquoi nous sommes ici : considérer le whisky comme un plaisir, quelque chose que l'on partage et que l'on découvre. J'aime rencontrer mon caviste, Brian, juste pour le plaisir de l'entendre dire "Vous connaissez ça ?? On vient de le rentrer. Vous voulez le goûter ?".
Pour moi, la prochaine distillerie a la mode sera celle qui me fait vibrer car comme l'a déjà dit Amaury, mes goûts d'aujourd'hui ne sont pas mes goûts de demain. Même si on a tous nos marques fétiches et refuge.
J'entends par la que beaucoup de néophytes ou petits amateurs se fient en premiers aux whiskies "hypes" tels que ceux désignés comme "meilleur single malt au monde" ou "meilleur whisky du monde" par l'homme au chapeau sans vraiment connaitre ce qu'il vont acheter. Ils vont chercher à les acheter pour spéculer, ce qui influe le marché à la hausse au niveau des tarifs mais pas nécessairement au niveau de la qualité car il faut produire plus et vite pour les distilleries concernées.
Je pense que beaucoup d'entre eux aimeraient savoir quelle sera la prochaine distillerie "to have". Mais a mon humble avis, je pense que l'idée même de vouloir le savoir va à l'encontre de ce pourquoi nous sommes ici : considérer le whisky comme un plaisir, quelque chose que l'on partage et que l'on découvre. J'aime rencontrer mon caviste, Brian, juste pour le plaisir de l'entendre dire "Vous connaissez ça ?? On vient de le rentrer. Vous voulez le goûter ?".
Pour moi, la prochaine distillerie a la mode sera celle qui me fait vibrer car comme l'a déjà dit Amaury, mes goûts d'aujourd'hui ne sont pas mes goûts de demain. Même si on a tous nos marques fétiches et refuge.
- Vous voulez un whisky ?
- Juste un doigt
- Vous préférez pas un whisky d'abord ?
- Juste un doigt
- Vous préférez pas un whisky d'abord ?
Re: Qui sera le devin?
En fait, il y a deux aspects à distinguer : la spéculation sur un embouteillage spécifique plébiscité par SV ou "l'homme au chapeau", et là, la distillerie rentre peu en compte (mais tout de même...), de l'autre côté, il y a l'engouement pour une distillerie en général, et là, c'est tout autre chose. Un aspect important selon moi est alors la rareté. On est parti de l'exemple de Littlemill, distillerie fermée. Le fait qu'elle soit fermée est selon moi un point important et déterminant sur la hype qui est survenue. Il faudrait donc voir dans les ditilleries fermées encore passablement méconnues lesquelles peuvent présenter à la fois un certain intérêt et être encore présente dans les chais des embouteilleurs à attendre leur heure de gloire... pas sûr qu'on ai vraiment de candidats sérieux.
Donc à défaut d'une distillerie fermée, il en faut une avec une très petite production (Springbank - oui, encore... - Edradour - pour la blague ), ou proposant des embouteillages limités et réputés (on a pu voir cela avec Glendronach, dont les release de single casks annuels ont rencontrés un succès croissant au cours de ces dernières années, au point de rendre très compliqué de réussir à choper les bouteilles qu'on voulait. Mais dans ce cas, il y a peit-être un autre facteur qui rentre en jeu : il me semble - si je ne dis pas de conneries - qu'ils ont changé leur mode de production de manière assez notable au cours des années 90, non ? (si quelqu'un a l'année...). Possible que les gens se soient dit " C'est notre dernière chance de choper du Glendro "à l'ancienne" comme on l'aime", se ruant sur ces embouteillages - généralement plutôt coté - dans la crainte de la qualité du jus post changements ( simple hypothèse).
Tout ce blabla pour dire que l'aspect rareté et donc "collector" n'est pas à négliger dans les hypothèses.
Donc à défaut d'une distillerie fermée, il en faut une avec une très petite production (Springbank - oui, encore... - Edradour - pour la blague ), ou proposant des embouteillages limités et réputés (on a pu voir cela avec Glendronach, dont les release de single casks annuels ont rencontrés un succès croissant au cours de ces dernières années, au point de rendre très compliqué de réussir à choper les bouteilles qu'on voulait. Mais dans ce cas, il y a peit-être un autre facteur qui rentre en jeu : il me semble - si je ne dis pas de conneries - qu'ils ont changé leur mode de production de manière assez notable au cours des années 90, non ? (si quelqu'un a l'année...). Possible que les gens se soient dit " C'est notre dernière chance de choper du Glendro "à l'ancienne" comme on l'aime", se ruant sur ces embouteillages - généralement plutôt coté - dans la crainte de la qualité du jus post changements ( simple hypothèse).
Tout ce blabla pour dire que l'aspect rareté et donc "collector" n'est pas à négliger dans les hypothèses.
Re: Qui sera le devin?
En 2005 Glendronach à arrêté la chauffe directe.
Glenfarclas est revenu en arrière trois semaines après avoir tenté de faire de même.
Faut regarder le maltage (plus grand monde le fait), les condenseurs, la chauffe, l'origine de l'orge, et ces petits détails comme le nombre d'employés affectés à la production ...
Ce n'est que mon avis.
Glenfarclas est revenu en arrière trois semaines après avoir tenté de faire de même.
Faut regarder le maltage (plus grand monde le fait), les condenseurs, la chauffe, l'origine de l'orge, et ces petits détails comme le nombre d'employés affectés à la production ...
Ce n'est que mon avis.