Caol Ila 13 ans (1996/2009), Medoc Finish, Cask 90301/90307, Chieftain's, 46 %: (première passe)
N : Si la première bouffée donne lieu à un mélange de tourbe et une pointe acide, le nez tourne à la sauce rouille (oui , celle des soupes de poissons) avec pourtant une composante sucrée notable (sucre candy, pomme). L'aération le tourne plus vers l'orange. Un nez assez agréable et très rond.
B : Une tourbe bien cendrée/marine accompagnée d'un peu de céréales, de malt et d'une pointe d'agrume (mandarine). La tourbe est belle par contre on sent quand même l'alcool se poser au milieu de tout cela. Ca manque un peu de puissance également.
F : La finale se poursuit de manière diaphane sur le duo tourbe-mandarine. L'arrière-bouche reprend l'aspect salé de la sauce rouille.
En résumé : On ne ressent pas vraiment l'influence directe du finish vin. Le nez est vraiment surprenant tandis que la bouche reste un poil en-dessous à cause d'une intégration un peu défaillante qui flingue un peu l'apport de la mandarine. Pas désagréable dans l'ensemble.
Note : 83
Caol Ila 1996/2009 Medoc Finish Cask 90301/90307 Chieftain's
Modérateur : Modérateurs
Re: Caol Ila 1996/2009 Medoc Finish Cask 90301/90307 Chiefta
Deuxième et troisième passe :
N : Si la première bouffée donne lieu à un mélange de tourbe et une pointe acide, le nez tourne à la sauce rouille (oui , celle des soupes de poissons) avec pourtant une composante sucrée notable (sucre candy, pomme). L'aération le tourne plus vers l'orange. Un nez assez agréable et très rond.
B : Une tourbe bien cendrée/marine accompagnée d'un peu de céréales, de malt et d'une pointe d'agrume (mandarine). Mais toujours avec cette impression de sauce rouille. La tourbe est belle par contre on sent quand même l'alcool se poser au milieu de tout cela. Ca manque un peu de puissance également.
F : La finale se poursuit de manière diaphane sur le duo tourbe-mandarine avec des notes salées et du malt. L'arrière-bouche reprend l'aspect salé de la sauce rouille, du beurre et le chocolat granuleux.
En résumé : On ne ressent pas vraiment l'influence directe du finish vin (si ce n'est sur la couleur). Le nez est vraiment surprenant tandis que la bouche reste un poil en-dessous à cause d'une intégration un peu défaillante qui flingue un peu l'apport de la mandarine. Pas désagréable dans l'ensemble et avec des notes assez inédites.
Note : 83
N : Si la première bouffée donne lieu à un mélange de tourbe et une pointe acide, le nez tourne à la sauce rouille (oui , celle des soupes de poissons) avec pourtant une composante sucrée notable (sucre candy, pomme). L'aération le tourne plus vers l'orange. Un nez assez agréable et très rond.
B : Une tourbe bien cendrée/marine accompagnée d'un peu de céréales, de malt et d'une pointe d'agrume (mandarine). Mais toujours avec cette impression de sauce rouille. La tourbe est belle par contre on sent quand même l'alcool se poser au milieu de tout cela. Ca manque un peu de puissance également.
F : La finale se poursuit de manière diaphane sur le duo tourbe-mandarine avec des notes salées et du malt. L'arrière-bouche reprend l'aspect salé de la sauce rouille, du beurre et le chocolat granuleux.
En résumé : On ne ressent pas vraiment l'influence directe du finish vin (si ce n'est sur la couleur). Le nez est vraiment surprenant tandis que la bouche reste un poil en-dessous à cause d'une intégration un peu défaillante qui flingue un peu l'apport de la mandarine. Pas désagréable dans l'ensemble et avec des notes assez inédites.
Note : 83