Strathisla 1972, Glengoyne 1972, Brora 30 ans
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C'est justement parce qu'il s'agit de versions prestigieuses et cher que ça suscitent des débats sans fin. Comme c'est cher et rare, je pense que les gens s'attendent au zéro défaut sans parler de la légende qui plane autour. En fait je pense qu'il est plus facile de juger un tel whisky par comparaison, en le jugeant à une version lambda, on se rend mieux compte de la qualité de ce whisky. Une fois j'ai eu une experience un peu similaire avec une bouteille de vin, j'avais acheté avec un ami un Chateau cheval blanc 1989, on s'en était fait une montagne de ce vin, en la goûtant on a eu une grosse déception et c'est après en passant à un St Emillion plus classique que nous connaissions bien que nous nous sommes rendu compte de quelle merveille était le Cheval blanc.Serge a écrit :Je suis d'accord, mais cela m'a toujours particulièrement étonné de constater que les versions officielles âgées (et chères) de certaines distilleries suscitent des débats sans fin. Laphroaig 30 et 40 ans, Springbank 'Millenium', Macallan 30 ans, Ardbeg 'Very Old' 30 ans (sans doute le plus débattu !) etc.
Perso je suis assez habitué à ce genre de débat qui sont monaie courante dans mon autre passion qui est la hifi, dès qu'on parle de système prestigieux il y a tout un tas débats sans fin avec les détracteurs et les adorateurs, jusqu'à present je n'ai écouté qu'un seul système prestigieux qui mettait tout le monde d'accord.
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Re: Vieilles versions
Zut je suis embêté, n'étant ni collectionneurs (je les ouvre et les bois), ni investisseurs (vu que je les bois), il me reste plus que frimeur. Je vais donc reviser mes copies, mettre les belles bouteilles devant bien en évidence, faire une jolie photo numérique et la coller dans mon profil.jmputz a écrit : j'estime qu'elles s'adressent plus à un marché de collectionneurs, investisseurs ou frimeurs qu'à des amateurs de single malt.
Dis moi JM quand tu auras fini ta bouteille de Brora Platinium tu pourras me la donner que je mets de l'eau dedans et que je l'expose dans ma collection, elle devrait en jetter un max
Non plus serieusement tu peux nous rappeler qu'elles sont les bouteilles qui ont obtenu un 20/20 dans ton classement ? Est-ce qu'il s'agissait de versions lambda ?
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20/20
Il y a eu deux bouteilles qui ont obtenu un 20/20:
La Brora Platinum (attention: goûtée une seule fois...) et un Port Ellen Provenance 19 ans Spring distillation. La seconde fois elle n'a obtenu qu'un 18 et ensuite un 19. C'est dire si c'est subjectif...
Est-ce un hasard si les deux bouteiles sont des Douglas Laing?...
Il y avait il y a quelques semaines une dégustation Cadenhead à Amstedam. 4 ou 5 très vieux et très réputés Springbank (dont le 40 ans), mais une participation de 185 euros pour la soirée... Est-ce bien raisonnable, sachant tout ce qu'on peut faire avec 185 € chez un bon caviste?
Simplement partant du principe que tout ce qui est rare est cher et que tout a une fin (même les bonnes bouteilles), il n'est pas donné à un véritable amateur (et uniquement amateur) de profiter de ces bouteilles hors de prix. Moi ma limite perso est 150€ (exception: Brora Platinum), mais quand on parle de Springbank 40 ans, de vieux Macallan et autre Black Bowmore, ce montant est simplement ridicule.
On atteint facilement les montants à 4 chiffres dans certains cas.
Je ne suis pas connaisseur en vin, mais je me suis toujours demandé pourquoi certains vins sont si chers (avec en plus le fait qu'un vin ouvert ne se conserve pas comme un whisky...) et qui les achète. Oui, je sais il y a certains employés de GS qui s'en offrent une ou deux lors de leur départ à la retraite (chez Carrefour entre autres...) C'est vrai qu'avec 39.000.000 d'Euros, on peut bien se permettre une petite folie de temps en temps.
Imagine ouvrir une bouteille à 500 euros qui est bouchonnée....
Je sais, il y a des gens qui aiment la roulette russe.... Moi pas.
Je reste sur mon principe qui veut que la différence entre une très bonne bouteille et un excellente bouteille n'est pas toujours en proportion avec celle entre une bouteille chère et une bouteille hors de prix.
Dans le premier cas, on peut avoir (cas extrème) un rapport de 1 à 2 (plaisir) et dans le second (prix) de 1 à 10, voire beaucoup plus...
La Brora Platinum (attention: goûtée une seule fois...) et un Port Ellen Provenance 19 ans Spring distillation. La seconde fois elle n'a obtenu qu'un 18 et ensuite un 19. C'est dire si c'est subjectif...
Est-ce un hasard si les deux bouteiles sont des Douglas Laing?...
Maintenant, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit. Je sais que tu aimes les belles et vieiles bouteilles, mais cette petite phrase ne t'était évidemment pas destinée. Parce que toi justement tu fais partie (tout comme Serge aussi j'imagine) de cette minorité qui les boit. Mais combien en parlent sans avoir jamais goûté? ou alors en 5ème position lors d'un festival.... (que vaut encore l'appréciation dans ces conditions?).PNicolas a écrit :il me reste plus que frimeur
Il y avait il y a quelques semaines une dégustation Cadenhead à Amstedam. 4 ou 5 très vieux et très réputés Springbank (dont le 40 ans), mais une participation de 185 euros pour la soirée... Est-ce bien raisonnable, sachant tout ce qu'on peut faire avec 185 € chez un bon caviste?
Simplement partant du principe que tout ce qui est rare est cher et que tout a une fin (même les bonnes bouteilles), il n'est pas donné à un véritable amateur (et uniquement amateur) de profiter de ces bouteilles hors de prix. Moi ma limite perso est 150€ (exception: Brora Platinum), mais quand on parle de Springbank 40 ans, de vieux Macallan et autre Black Bowmore, ce montant est simplement ridicule.
On atteint facilement les montants à 4 chiffres dans certains cas.
Je ne suis pas connaisseur en vin, mais je me suis toujours demandé pourquoi certains vins sont si chers (avec en plus le fait qu'un vin ouvert ne se conserve pas comme un whisky...) et qui les achète. Oui, je sais il y a certains employés de GS qui s'en offrent une ou deux lors de leur départ à la retraite (chez Carrefour entre autres...) C'est vrai qu'avec 39.000.000 d'Euros, on peut bien se permettre une petite folie de temps en temps.
Imagine ouvrir une bouteille à 500 euros qui est bouchonnée....
Je sais, il y a des gens qui aiment la roulette russe.... Moi pas.
Je reste sur mon principe qui veut que la différence entre une très bonne bouteille et un excellente bouteille n'est pas toujours en proportion avec celle entre une bouteille chère et une bouteille hors de prix.
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Slainte Mhath
https://www.travel-video.info
Vimeo: https://vimeo.com/jmputz
Paypal:jmputz@whisky-distilleries.info
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Tout l'avantage du whisky sur le vin est que justement, il est aisé de goûter des whiskies très vieux et très chers par le biais des échanges d'échantillons ou en participant à des événements variés tels que salons, masterclasses etc. Pas besoin d'etre doué en maths pour savoir que 70 cl = 14 échantillons de 5 cl. Autrement dit, et à condition d'avoir pas mal d'amis amateurs, acheter une bouteille de whisky 'rare et cher' permet d'en déguster 13 autres ! Quand je rencontre des amis Malt Maniacs ou autres fondus, ce sont des dizaines et des dizaines d'échantillons qui changent de main - si pas des centaines - et des colis sont expédiés quasi-mensuellement. Je sais bien que publier des notes de dégustations au sujet de whiskies très chers, comme je le fais, donne l'impression de 'frimer', ou d'avoir un budget illimité. Mais en réalité, il faut 'simplement' pas mal de débrouillardise (et d'amis amateurs). Je ne vais pas nier que ça reste cher, tout ça, mais c'est aussi absolument passionnant de découvrir par exemple un Glenfarclas veilli en fût de sherry de quatrième remplissage qui ressemble à un excellent Lowland, ou un Tomintoul hyper-tourbé, ou un Laphroaig qui sent le fromage... Imaginez aussi la surprise de tomber sur un Benriach tourbé avant que Signatory ne sorte ses justement célèbres versions ! Il paraît d'ailleurs qu'il y a aussi des Caperdonich du même genre (époque où Seagram voulait faire des économies sur les Islay pour leurs blends).
Un autre de nos sports favoris est de repérer une bouteille "rare et chère", de consulter un cercle d'amis, puis d'acheter la bouteille dès que nous avons assez de 'partenaires", puis de se la partager. Souvent, l'échantillon reste cher mais pas beaucoup plus qu'un verre dans un bar branché...
Santé
Serge
Un autre de nos sports favoris est de repérer une bouteille "rare et chère", de consulter un cercle d'amis, puis d'acheter la bouteille dès que nous avons assez de 'partenaires", puis de se la partager. Souvent, l'échantillon reste cher mais pas beaucoup plus qu'un verre dans un bar branché...
Santé
Serge
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Re: 20/20
Là je m'insurge (enfin je m'insurge, façon de parler, disons que je m'insurge cordialement ), parce que c'est à peu près à cette position que j'ai goûté le Brora 30 ans au whisky live, et franchement je peux te dire que je l'ai bien apprécié. Pas au point d'en faire une note de dégustation détaillée, mais suffisamment pour me rendre compte de la qualité de ce qu'il y avait dans mon verre. Et si je veux pousser plus loin le raisonnement, le Benriach 1975, c'était au moins mon 20ème whisky, et j'ai nettement vu la différence avec la plupart des autres que j'avais bus avant, j'ai bien senti aussi son goût de fruits exotiques très prononcé. Bref, plus on avance dans un festival, plus la perception est altérée (je parle bien du palais, pas de la perception visuelle, hein ), mais on arrive encore à faire la différence entre du bon, du très bon et de l'exceptionnel (par contre pour le médiocre on confond avec l'eau : tiens c'est de l'eau que j'ai mis dans mon verre, j'aurais juré que c'était du whisky...). Donc je pense qu'on est légitime à parler d'un whisky dégusté dans un festival dès lors qu'on a eu la sensation de bien le cerner.jmputz a écrit :Mais combien en parlent sans avoir jamais goûté? ou alors en 5ème position lors d'un festival.... (que vaut encore l'appréciation dans ces conditions?).
Mais pour le reste je suis entièrement d'accord, pour moi il ne faut mettre beaucoup d'argent dans une bouteille que si on a les moyens d'en acheter plusieurs au même prix, parce que si on se saigne aux 4 veines pour s'en payer une seule, une fois dans sa vie, on prend le risque d'une grosse déception. Idem pour le vin, le château Petrus (ou autre), ça s'achète par caisses de 6 ou 12, ou pas du tout.
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C'est un peu ce qu'on essaie de mettre en place ici, mais pour l'instant ça ne prend pas trop (cf. la rubrique "affaires" du forum)Serge a écrit :Tout l'avantage du whisky sur le vin est que justement, il est aisé de goûter des whiskies très vieux et très chers par le biais des échanges d'échantillons ou en participant à des événements variés tels que salons, masterclasses etc. Pas besoin d'etre doué en maths pour savoir que 70 cl = 14 échantillons de 5 cl. Autrement dit, et à condition d'avoir pas mal d'amis amateurs, acheter une bouteille de whisky 'rare et cher' permet d'en déguster 13 autres !
Un autre de nos sports favoris est de repérer une bouteille "rare et chère", de consulter un cercle d'amis, puis d'acheter la bouteille dès que nous avons assez de 'partenaires", puis de se la partager. Souvent, l'échantillon reste cher mais pas beaucoup plus qu'un verre dans un bar branché...
Santé
Serge
Re: 20/20
Je crois qu'il y a différentes sortes d'acheteurs de ces bouteilles:jmputz a écrit :tu fais partie (tout comme Serge aussi j'imagine) de cette minorité qui les boit. Mais combien en parlent sans avoir jamais goûté? ou alors en 5ème position lors d'un festival.... (que vaut encore l'appréciation dans ces conditions?).
- Ceux qui achètent pour revendre plus cher, plus tard. Ils sont méprisés par les "anoraks".
- Ceux qui sont passionnés et qui achètent pour ouvrir "un jour". Ils ne collectionnent pas pour collectionner, mais souvent ils achètent plus qu'ils ne boivent, et donc les bouteilles s'accumulent. C'est mon cas.
- Ceux qui collectionnent pour collectionner. Je n'en connais que très peu en réalité.
- Les Japonais. et maintenant les Chinois.
Les festivals sont d'excellentes occasions de goûter des malts rares, mais en effet, si l'on veut les juger correctement, l'idéal est d'avoir des petites bouteilles vides dans son sac à dos, et dès que l'on trouve qu'un malt est intéressant (pas besoin de beaucoup de temps pour cela, souvent le nez suffit) il suffit de verser le verre dans une 'mini' pour pouvoir le goûter à tête reposée chez soi.
Par ailleurs, il est vrai qu'un jugement est toujours subjectif. C'est pourquoi chez les Maniacs, nous ne considérons qu'une note est solide que lorsqu'au moins trois dégustateurs différents ont dégusté un malt.
Mais ceci est un vaste sujet. Je sais que la plupart des gens achètent les bouteilles que nous notons le plus haut mais je pense, en ce qui me concerne, que les notes les plus utiles sont les notes basses. Pouvoir éviter d'acheter une bouteille "pourrie" est très utile, je pense. On sait bien que beaucoup d'embouteilleurs indépendants vendent n'importe quoi, surtout lorsqu'ils ne font pas de blend . C'est tout le problème des single casks !
Santé
Serge
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Re: 20/20
T'inquiete, c'était de l'humour, je ne le prennais pas pour moi, je rebondissais juste sur ce que tu disais où personnelement je pense et j'espere que tes exemples sont des minorités de ceux qui achetent des vieux malt.jmputz a écrit :Maintenant, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit.
Oui c'est cher la MW avait elle même fait une dégustastion Black Bowmore, Springbank 40 ans millenium et je sais plus quel autre whisky Irlandais, il me semble que la dégustation coûtait 90 euros, ça reste cher mais moins que d'acheter l'une de ses bouteilles et ça reste une occasion presque unique de goûter de telles bouteilles, ceci dit je n'y suis pas allé car il n'y avait que le Springbank qui me faisait vraiment envie dans le lot mais je ne dit pas que je ne le ferais pas à une autre occasion.jmputz a écrit :Il y avait il y a quelques semaines une dégustation Cadenhead à Amstedam. 4 ou 5 très vieux et très réputés Springbank (dont le 40 ans), mais une participation de 185 euros pour la soirée... Est-ce bien raisonnable, sachant tout ce qu'on peut faire avec 185 € chez un bon caviste?
Des collectionneurs, des spéculateurs et là il y en a mais aussi des amteurs fortunés, des grands restaurants...jmputz a écrit : Je ne suis pas connaisseur en vin, mais je me suis toujours demandé pourquoi certains vins sont si chers (avec en plus le fait qu'un vin ouvert ne se conserve pas comme un whisky...) et qui les achète.
Ca m'est déjà arrivé sur des bouteilles moins cher et je peux te dire qu'à chaque fois c'est une mauvaise surprisejmputz a écrit : Imagine ouvrir une bouteille à 500 euros qui est bouchonnée....
Je sais, il y a des gens qui aiment la roulette russe.... Moi pas.
Je suis assez d'accord avec toi mais je ne place peut être pas le seuil au même niveau. Perso j'ai l'impression que qu'il y a une vrai différence sur les bouteilles qui tournent dans les 100 euros au delà la différence est rarement justifiable.jmputz a écrit : Je reste sur mon principe qui veut que la différence entre une très bonne bouteille et un excellente bouteille n'est pas toujours en proportion avec celle entre une bouteille chère et une bouteille hors de prix.
Dans le premier cas, on peut avoir (cas extrème) un rapport de 1 à 2 (plaisir) et dans le second (prix) de 1 à 10, voire beaucoup plus...
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Re: 20/20
C'est exactement comme celà que j'utilise, les différents classement, j'ai fait quelques achats que j'aurais bien aimé éviter En général quand c'est très bon personne n'est vraiment d'accord par contre quand c'est très mauvais tout le monde est d'accord :DSerge a écrit :Pouvoir éviter d'acheter une bouteille "pourrie" est très utile, je pense.
A+
Oui, la difficulté est que chacun a ses préférences (certains veulent du Bowmore, d'autres du Springbank...) Il faut donc soit une liste importante d'amateurs, dont seuls 5 ou 10% participeront selon les opportunités, soit quelques "fondus de base" qui donnent un pré-accord pour tout prendre systématiquement. Sinon, il est vrai que c'est galère, surtout s'il faut réagir très vite (eBay, ou bouteille qui sort tout d'un coup de la réserve dans un magasin etc.)laphroaig c moi a écrit :C'est un peu ce qu'on essaie de mettre en place ici, mais pour l'instant ça ne prend pas trop (cf. la rubrique "affaires" du forum)Serge a écrit :Un autre de nos sports favoris est de repérer une bouteille "rare et chère", de consulter un cercle d'amis, puis d'acheter la bouteille dès que nous avons assez de 'partenaires", puis de se la partager. Souvent, l'échantillon reste cher mais pas beaucoup plus qu'un verre dans un bar branché...
Santé
Serge
L'autre solution est de prendre des risques, d'acheter une bouteille en espérant qu'un partie au moins sera achetée par des amis. Je ne l'ai jamais fait mais en revanche, j'ai une liste de malts disponibles ce qui permet à des amis de proposer des échanges d'échantillons s'ils y trouvent quelque chose d'intéressant. Il faut au moins échanger 6 ou 12 échantillons à la fois pour que ça vaille le boulot...
Au fait, si ça vous intéresse, les "mini vides" les plus intéressantes et les moins chères, je les achète sur revol.fr. Il est important qu'elles soient efficaces (solides, propres, grosse embouchure etc.)
Santé
Serge
Re: 20/20
Exactement ! Bon, quand c'est vraiment très, très, très bon...PNicolas a écrit :En général quand c'est très bon personne n'est vraiment d'accord par contre quand c'est très mauvais tout le monde est d'accord :D
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Santé