Cubitus a écrit :Heu je vous impose pas ma vision non plus hein, moi je vous dis ce que j'en pense. Et puisque tu parles de Jim Murray, il note tous ses whiskies sans eau. Pour le coup des 30° :
http://www.whisky.fr/articles.php?rub=12 "En règle générale, il faut ajouter suffisamment d’eau pour redescendre le degré du whisky à 30%. Mais la quantité juste varie selon le caractère du whisky. Il convient donc de verser l’eau petit à petit. La dilution est optimale quand, au nez, vous n’avez plus ce picotement ou cette sensation de brûlure que vous éprouvez en humant un whisky non dilué." Cette sensation de brûlure je ne l'ai que très rarement moi, peut-être que j'ai le nez moins sensible à ça j'en sais rien.
Juste quelques mots pour te faire partager mon expérience ..... car après tout c'est tout l'intérêt de participer à un forum non ?
Celà fait environ 10 ans maintenant que je me passionne pour le Whisky .... et j'ai vécu plusieurs phases sur la question des BdF:
- phase 1: les BdF/CS c'est trop fort pour moi .... j'aime pas et je ne vois pas ce que celà apporte au whisky, l'alcool brule et écrase les aromes ...
- phase 2: inversion totale d'appréciation ! je ne m'intéresse quasi qu'aux BdF/CS ... le reste est fade et manque d'authenticité de surcroit !
- phase 3/actuelle: tout est relatif .... il y a des tueries à 40/43° (par exemple "mon" Laphroaig 1964 BBR), des tueries BdF/CS qui sont anéanties par la dilution, et des tueries qui ne le sont que ... si diluées .....
En bref aujourd'hui j'essaie toujours de diluer, même de seulement quelques goutes, pour éviter de passer à côté d'une vraie belle bouteille qui ne m'aurait pas séduit autrement .... un de mes meilleurs bons exemples récent =
cet arran, presque sans intérêt sans eau, presque excellentissime avec !